STEVEN WILSON

[Le Nobre]

Plus on écoute mieux c'est. Comme avec tous les autres extraits dévoilés jusqu'à présent.

[Le Nobre]

Harmony Codex ? Masterpiece. Nuff’ Said.

[Seb]

Qu'est ce que je suis content de ne pas avoir écouté les singles, ça m'aurait gâché l'expérience je pense...

Oui c'est un chef d'oeuvre, un disque exigeant qui demande de l'attention et qu'on lui consacre du temps et de multiples écoutes. Si tu écoutes ce disque en faisant autre chose, tu passes à côté et tu ne le l'apprécie pas, j'en suis persuadé... On doit entendre ça, en ayant l'impression qu'il ne se passe rien...
Je dois en être à ma sixième ou septième écoute et tout doucement, tout doucement, il commence à entrer et les morceaux qui me laissaient un peu froids (notamment Inclination et Impossible Tightrope) commencent à se dévoiler...

La qualité de la production est phénoménale. Le mix est dingue, c'est de la dentelle, de l'orfèvrerie, de la sculpture sonore... Il se passe toujours quelque chose ici ou là, à droite ou à gauche ou devant ou derrière si on a la chance d'avoir pu l'écouter en 5.1 ou Atmos. C'est fou la richesse de ce disque...

Après la première écoute, j'avais tout aimé. Il n’y a rien que je n’avais détesté. Mais rien adoré non plus. Pas de coup de cœur évident. Mais il était évident que le disque était un « slow burn » et qu’il allait me falloir plein d’écoutes et je ne m'étais pas trompé. Ce disque est à la fois très cohérent et complètement hétérogène ce qui est complètement paradoxal. Il est très ambiant, atmosphérique, on pourrait croire qu'il n’y a pas d’envolées épiques, de moments forts qui ressortent aux premières écoutes d'ailleurs...

Bref premières impressions extrêmement positives avec l’envie de relancer le disque encore et encore et de l’apprivoiser afin que ses merveilles se révèlent complètement. Parce que oui, il n’avait pas menti, c’est un vrai voyage musical et une expérience à vivre du début à la fin dans l’ordre.

[Le Nobre]

S’il fallait le situer dans le parcours de Steven Wilson, je dirais que cet album respire la plénitude. Plus le temps passe, plus sa musique s’épure… à mesure qu’elle s’enrichit. Encore un de ses savants paradoxes !

[elihah]

Hello le monde du forum, comment c'est-y que vous allez? Ou que vous hâlez, vues la chaleur et la soleil qui n'en finissent pas de nous jouer l'été...
Alors SW.
inclination: rythme de batterie qui me lasse
What life brings: ....sympa
Economies of scale: ...why not
Impossible tighrope: whaou géneral, sauf le saxo, misère, le sax, je peux pas
Rock bottom: intéressant..(juste ne pas crier, please, Ninet)
Les suivantes: je prends je garde et je réécoute ...

[Mr a]

[Davy]

Hello, j'ai attendu de multiples ecoutes pour m'etendre un brin sur le dernier album de Steve Wilson. En parallele j'ai lu sa biographie redigee pendant le covid, je la conseille vraiment pour ceux qui veulent mieux cerner et comprendre le personnage, que je trouve vraiment interessant, par sa personnalite, ses opinions, son parcours et des choix. Je le comprends desormais mieux et respecte ses choix. Alors oui, je trouve cet album vraiment chouette, avec plein de choses superbes, d'arrangements et ambiances somptueux, un album tres eclectique aux multiples influences et trouvailles. Steven est vraiment un touche a tout genial, un bricoleur de sons et de melodies, en perpetuelle remise en cause et en recherche de nouveaux espaces. Chapeau bas. Meme si je n'adore pas tout, que j'aimerais avoir un peu plus de frissons et d'emotions, qu'apres les premieres minutes geniales de Impossible Tightdrop, j'accroche moins sur la suite, meme si cela reste de tres bonne facture. Disons que la palette est tellement large que c'est difficile d'avoir la chair de poule en continu . A la lecture de sa bio, on voit que Steven n'est pas fait pour rester dans un groupe toute sa vie, qu'il ressent comme un carcan limitant ses aspirations, ses inspirations. Et je continue de trouver cela dommage, car ses albums avec Porcupine Tree restent pour moi le summum de ses productions musicales, car les apports des autres musiciens donnent selon moi une autre dimension, une autre atmosphere que lorsque ce sont des musiciens qu'ils engagent en tant que chef d'orchestre/artiste solo. Mais c'est son choix et je le respecte. C'est vraiment super captivant de lire ses reflexions a ce sujet dans sa bio, et il parle egalement a plusieurs reprises de Marillion, il envie un brin leur rapport aux fans, mais est incapable de developper la meme relation. Alors voila, quo vadis Steven?? Ou que tu ailles, je continuerai a t'ecouter, car tu es vraiment un super musicien, completement a part, un ovni dans le monde musical.

[Seb]

Yep, je confirme que la lecture de son livre est primordiale... J’avais passé un super moment à le lire, c’était passionnant.