Iron Maiden
- Le Nobre
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Re: Iron Maiden
Franchement Writing On The Wall ce n'est ni El Dorado ou Final Frontier ni Benjamin Breeg, ni même Speed Of Light...
Pas même Man On The Edge...
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- gato13
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Re: Iron Maiden
Après plusieurs écoutes de "Writing On The Wall", je dois avouer que le morceau commence à bien me plaire même si, pour rejoindre Le Nobre, ce titre est loin d'égaler l'excellentissime "The Reincarnation of Benjamin Breeg" !
The angels in this world are not in the walls of churches
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
- gato13
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Re: Iron Maiden
Signé Gers/Harris, un titre efficace auquel j'ai adhéré rapidement !
The angels in this world are not in the walls of churches
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
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Re: Iron Maiden
Pas mal. On s'y fait petit à petit.
- gato13
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Re: Iron Maiden
Il n'y a que le solo qui me gène, comme bien souvent avec Janick Gers. Je le trouve plus inspiré en tant que compositeur.
The angels in this world are not in the walls of churches
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
The angels in this world are not rendered in bronze or stone
The heroes in this world, working while we’re all sleeping
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Re: Iron Maiden
The Writing On The Wall est un poison lent, j'aime bien maintenant
- Le Nobre
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Re: Iron Maiden
Et je découvre à présent Senjutsu, l'album.
Ce qui me frappe d'entrée, c'est le travail de production sur les voix et sur les guitares. Bruce a droit à un traitement particulièrement soigné, son chant évite les poussées parfois agaçantes et inutiles des années passées, il nuance à merveille, quant aux trois ferrailleurs ils sont habilement placés sous les sunlights à chaque intervention en solo, ils sont littéralement ON FIRE durant tout l'album.
Très bon point donc pour Kevin Shirley, toujours fidèle à son style mais en pilotage moins automatique que sur tous les albums qui ont suivi Brave New World.
La démarche artistique, elle, reste identique, c'est le Maiden à 6 et ses velléités progressives pleinement assumées. La fois précédente, c'est Bruce qui était allé au bout de son trip avec son maousse Empire Of The Clouds, cette fois c'est Steve Harris qui reprend la main en signant à lui seul plus de quarante minutes de compositions. Lost In A Lost World et son intro très floydienne a parfois des airs de No More Lies, Death Of The Celts poursuit la quête de The Clansman, The Parchment dresse un pont entre un Powerslave et un Final Frontier (Where The Wild Wind Blows), enfin Hell On Earth disperse des relents de nombre d'anciens albums dont The X Factor, de façon assez appuyée. Il y a donc on s'en doute un nombre incalculables de tics typiquement Harris tout au long de ces mélopées, mais cette fois je ressens un je ne sais quoi de perfectionnisme en plus. Certains refrains téléphonés s'éternisent moins que dans les exercices précédents, on pense à No More Lies ou For The Greater Good Of God ou encore à l'interminable The Red And The Black, et Harris nous prend à revers au moment où l'on allait lui taper sur les doigts. Ses copié-collés sont plus fluides, on n'est pas pris de cette irrépressible envie de couper au ciseau des parties superflues, d'autre part ses vastes développements laissent le champ totalement libre à Adrian, Dave et Janick qui se frisent les moustaches et nous régalent ! Les parties instrumentales sont énormes, j'ai déjà repéré notamment deux ou trois percées absolument décisives d'Adrian Smith...
L'autre moitié de l'album est principalement occupée par l'Adrian justement, d'abord sur le morceau-titre, qui, tout comme l'excellent If Eternity Should Fail, propose un Maiden bien sûr reconnaissable, mais, osons le dire, audacieux. Senjutsu a tout de la coulée de lave bien incandescente, mais la très bonne nouvelle, c'est qu'elle est truffée de bonnes surprises.
Days Of Future Past, tout aussi volontaire, m'a peut-être moins accroché pour le moment, tout comme The Darkest Hour, mais j'y ai distingué là aussi des choses moins attendues. Je leur laisse le bénéfice du temps. Tout comme à la deuxième compo de Janick Gers, The Time Machine, que je n'ai pas encore cernée mais qui recèle également des trouvailles que je n'attendais plus.
Voilà, j'ai constaté pour finir que Stratego et The Writing On The Wall ne font que se bonifier et sont parfaitement placées dans le sequencing de l'album. Un album dont on reparlera, car il se pourrait bien que Maiden 6 ait bouclé sa boucle de la plus magistrale des façons. Un peu leur Seventh Son à 6... Mais encore une fois, laissons le tic tac faire son oeuvre...
A+
mdf : Senjutsu
Ce qui me frappe d'entrée, c'est le travail de production sur les voix et sur les guitares. Bruce a droit à un traitement particulièrement soigné, son chant évite les poussées parfois agaçantes et inutiles des années passées, il nuance à merveille, quant aux trois ferrailleurs ils sont habilement placés sous les sunlights à chaque intervention en solo, ils sont littéralement ON FIRE durant tout l'album.
Très bon point donc pour Kevin Shirley, toujours fidèle à son style mais en pilotage moins automatique que sur tous les albums qui ont suivi Brave New World.
La démarche artistique, elle, reste identique, c'est le Maiden à 6 et ses velléités progressives pleinement assumées. La fois précédente, c'est Bruce qui était allé au bout de son trip avec son maousse Empire Of The Clouds, cette fois c'est Steve Harris qui reprend la main en signant à lui seul plus de quarante minutes de compositions. Lost In A Lost World et son intro très floydienne a parfois des airs de No More Lies, Death Of The Celts poursuit la quête de The Clansman, The Parchment dresse un pont entre un Powerslave et un Final Frontier (Where The Wild Wind Blows), enfin Hell On Earth disperse des relents de nombre d'anciens albums dont The X Factor, de façon assez appuyée. Il y a donc on s'en doute un nombre incalculables de tics typiquement Harris tout au long de ces mélopées, mais cette fois je ressens un je ne sais quoi de perfectionnisme en plus. Certains refrains téléphonés s'éternisent moins que dans les exercices précédents, on pense à No More Lies ou For The Greater Good Of God ou encore à l'interminable The Red And The Black, et Harris nous prend à revers au moment où l'on allait lui taper sur les doigts. Ses copié-collés sont plus fluides, on n'est pas pris de cette irrépressible envie de couper au ciseau des parties superflues, d'autre part ses vastes développements laissent le champ totalement libre à Adrian, Dave et Janick qui se frisent les moustaches et nous régalent ! Les parties instrumentales sont énormes, j'ai déjà repéré notamment deux ou trois percées absolument décisives d'Adrian Smith...
L'autre moitié de l'album est principalement occupée par l'Adrian justement, d'abord sur le morceau-titre, qui, tout comme l'excellent If Eternity Should Fail, propose un Maiden bien sûr reconnaissable, mais, osons le dire, audacieux. Senjutsu a tout de la coulée de lave bien incandescente, mais la très bonne nouvelle, c'est qu'elle est truffée de bonnes surprises.
Days Of Future Past, tout aussi volontaire, m'a peut-être moins accroché pour le moment, tout comme The Darkest Hour, mais j'y ai distingué là aussi des choses moins attendues. Je leur laisse le bénéfice du temps. Tout comme à la deuxième compo de Janick Gers, The Time Machine, que je n'ai pas encore cernée mais qui recèle également des trouvailles que je n'attendais plus.
Voilà, j'ai constaté pour finir que Stratego et The Writing On The Wall ne font que se bonifier et sont parfaitement placées dans le sequencing de l'album. Un album dont on reparlera, car il se pourrait bien que Maiden 6 ait bouclé sa boucle de la plus magistrale des façons. Un peu leur Seventh Son à 6... Mais encore une fois, laissons le tic tac faire son oeuvre...
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mdf : Senjutsu
- gato13
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Re: Iron Maiden
Merci pour tes premières impressions. Je viens de commencer l'écoute, mon analyse viendra plus tard mais je dois dire que le titre "Senjutsu" m'a scotché dès la première écoute. Si la suite est du même acabit, je ne vais jamais m'en remettre mais attendons et laissons la magie Iron Maiden opérée avant de partager mes impressions et rédiger ma chronique.
A+
UP THE IRONS
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Re: Iron Maiden
"The Parchment", première écoute et je sais déjà que ce titre va me transporter au paradis musical pour les années à venir et bien au-delà. L'extase...
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Re: Iron Maiden
+1 quel kif !!
Et assez d'accord avec le Nobre sur l'analyse générale.
Je me disais que sortir un disque comme ça aujourd'hui relève encore d'un miracle tellement il est à contre-courant de tout... Maiden l'a toujours été, mais aujourd'hui, je trouve que ça l'ait encore plus .
Après, libre à chacun d'y être sensible ou non...