The Web France

(1981)



Une affiche de rêve et un festival à jamais gravé dans ma mémoire...

(1994)

Second album solo après son départ de la Vierge de Fer en 1993 qu'il réintègrera en 2000. Le chanteur s'éloigne de l'univers musical d'Iron Maiden. Un son plus moderne, plus lourd. Des morceaux aux ambiances sombres flirtant avec le Neo-Metal et n'hésitant pas à incorporer des sonorités tribales pour le moins judicieuses.Tribe Of Gypsies, le groupe qui l'accompagne est emmené par le flamboyant Roy Z à la guitare. Un album clé dans la carrière solo du grand Bruce Dickinson qui contient la chanson ultime : la sublime "Tears of the Dragon". La suite sera tout aussi surprenante et passionnante.

(1996)

Après le très réussi "Balls to Picasso", Bruce Dickinson décide d'aller encore plus loin dans l'innovation et la prise de risque. Il recrute de jeunes musiciens et fonde le projet Skunkworks. L'album ne sera pas une réussite commerciale. Par contre au niveau artistique, c'est une réussite totale. Le grand Bruce a repensé et complètement renouvelé son panel musical. En fonçant tête baissée et avec une énergie salvatrice dans la vague grunge et rock alternatif, le chanteur légendaire réussit le tour de force de laisser libre court à sa curiosité et sa liberté créatrice, quitte à déstabiliser ses fans. Le résultat est un album somptueux, avant-gardiste, riche à la production énorme et doté d'une somptueuse pochette signée Storm Thorgerson. Pour les plus curieux ou pour ceux qui sont passés à côté de cette merveille, à redécouvrir de toute urgence !

(2019)









Complètement barré, libre, outrancier, pompeux, illuminé, céleste, inclassable, audacieux et génialement surdoué !

Quel genre de musique ? Cela s'appelle du Devin Townsend...

(1960)

(2015)



sublime, la beauté des voix est renversante !

(1997)

Retour aux fondamentaux avec cet album qui voit le retour de Roy Z et son Tribe of Gipsies aux commandes. Et pour mettre tous les atouts en sa faveur, le Bruce embarque son pote Adrian Smith en vacances d'Iron Maiden depuis "Seventh Son of a Seventh Son" (1988). Le résultat est à la hauteur des espérances : un heavy metal puissant, racé et mélodique. Sans oublier des titres aux ambiances mélancoliques comme les sublimes "Taking The Queen", "Man of Sorrows", "Omega" et "Arc of Space". Superbement produit et formidablement interprété cet "Accident of Birth" est à classer parmi les grandes productions de cet immense artiste. Et le meilleur restait encore à venir...

(2016)

(1974)






Chef d’œuvre !!! Uli Jon Roth est stratosphérique !!!