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Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 30 juin 2020, 15:07
par gato13
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(2016)

BOULEVERSANT !

:wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 30 juin 2020, 15:11
par gato13
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Superbe série qui allie un magnifique scénario et des illustrations somptueuses.

SUBLIME !

:wub: :wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 02 juillet 2020, 15:25
par gato13
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8-)

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 09 juillet 2020, 10:31
par gato13
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Formidable roman admirablement écrit. En apportant un éclairage nouveau sur les derniers mois de la vie de Van Gogh, la romancière nous plonge avec sensibilité au cœur de l'âme tourmentée d'un créateur profondément seul, éternel insatisfait en perpétuelle quête de vérité artistique. Beau, triste et poignant !

:wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 25 juillet 2020, 10:47
par gato13
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Excellente série. Scénarios et graphismes au top !

8-)

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 13 septembre 2020, 13:30
par gato13
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(2019)

Quatrième de couverture

2 novembre 1999. Luther Dunphy prend la route du Centre des femmes d'une petite ville de l'Ohio et tire sur le Dr Augustus Voorhees, l'un des « médecins avorteurs » de l'hôpital. De façon remarquable, Joyce Carol Oates dévoile les mécanismes qui ont mené à cet acte meurtrier : Luther Dunphy est à la fois un père rongé par la culpabilité et un mari démuni. Pour ne pas sombrer, il se raccroche à son église, où il fait la rencontre décisive du professeur Wohlman, activiste antiavortement. Bientôt, il se sent lui aussi investi d'une mission divine, celle de défendre les enfants à naître, peu importe le prix à payer, y compris sa future condamnation à mort. Dans le virulent débat sur l'avortement, chaque camp est convaincu du bien-fondé de ses actions. Mené par des idéaux humanistes, Augustus Voorhees a consacré sa vie à la défense du droit des femmes à disposer de leur corps. Les morts des deux hommes laissent leurs familles en état de fragilité. En particulier leurs filles, Naomi Voorhees et Dawn Dunphy, obsédées par la mémoire de leurs pères. Joyce Carol Oates offre le portrait acéré d'une société ébranlée dans ses valeurs profondes. Sans jamais prendre position, elle rend compte d'une réalité trop complexe pour reposer sur des oppositions binaires. Entre les fœtus avortés, les médecins assassinés ou les « soldats de Dieu » condamnés à la peine capitale, qui sont les véritables martyrs ?

Bouleversant, nécessaire et vital, un roman d'une rare puissance, magistralement écrit. Un choc littéraire comme il y en a peu et comme je n'en ai pas eu depuis longtemps.

:wub: :wub: :wub: :wub: :wub: :wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 22 septembre 2020, 15:22
par gato13
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Quatrième de couverture

« Venge-nous de la mine, avait écrit mon père. Ses derniers mots. Et je le lui ai promis. À sa mort, mes poings menaçant le ciel. Je n'ai jamais cessé de le lui promettre. J'allais venger mon frère, mort en ouvrier. Venger mon père, mort en paysan. Venger ma mère, morte en esseulée. J'allais tous nous venger de la mine. Nous laver des Houillères, des crapules qui n'avaient jamais payé leurs crimes. » Suite au décès de son frère Joseph, mineur, à cause du grisou dans la fosse Saint-Amé à Liévin en décembre 1974, Michel Flavent se promet de le venger un jour et quitte le nord de la France. Quarante ans après, veuf et sans attache, il rentre au pays pour punir le dernier survivant, un vieux contremaître, et enfin tourner la page.

Admirablement écrit, "Le jour d'avant" est un roman dur, terrible et poignant. Un livre d'une puissance rare.

:wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 27 octobre 2020, 15:53
par gato13
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Un livre qui fait chaud au cœur, un bonheur de lecture !

:wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 08 novembre 2020, 15:44
par gato13
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(2020)

Quatrième de couverture

Rejetée par ses proches, Violet Rue Kerrigan revient sur son passé. Sa faute ? Avoir dénoncé pour meurtre ses grands frères, tortionnaires d'un jeune Africain-Américain. Lors de leur accès de violence raciste, elle avait douze ans. Dans un récit émouvant, Violet se remémore son enfance en tant que cadette d'une fratrie dysfonctionnelle d'origine irlandaise, durant les années 70 dans l'État de New York. Une famille où la parole du père ne souffre aucune contestation et où les garçons ont plus de valeur que les filles. La jeune femme raconte comment elle est passée du meilleur au pire : elle était la préférée des sept enfants Kerrigan, elle est maintenant celle qui "a cafardé" et entraîné l'arrestation de ses frères. Une décision qui lui a valu d'être exilée, chassée par ses parents ... Avec une grande finesse psychologique, Joyce Carol Oates interroge la nature du lien familial et l’évanescence des sentiments qui le tissent, comme l’amour et la loyauté. En retraçant la destinée de Violet des années 70 à 90, elle offre le saisissant portrait d’une femme en quête d’émancipation des siens afin de découvrir sa propre identité.

Un roman d'une grande sensibilité, d'une grande richesse. Complexe, profond, émouvant et brillamment écrit, un livre intense qu'il est difficile d'abandonner tant il vous happe dès les premières pages.

:wub: :wub: :wub: :wub:

Re: La Musique OK mais la lecture

Posté : 20 décembre 2020, 15:39
par gato13
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On a connu Van Hamme beaucoup plus inspiré mais ce feuilleton d'aventures historico-romanesques, malgré un graphisme qui aurait pu être un peu plus soigné, se laisse lire sans déplaisir.

8-)