Re: MARILLION DANS LA PRESSE
Posté : 10 décembre 2013, 09:33
En fouillant dans le grenier chez mes parents, je suis tombé sur des livres que j'avais achetés lorsque j'étais plus jeune et en relisant l'année du rock 86/87 j'ai lu un article sur Marillion. On sent bien tout l'amour des journalistes pour commenter l'évenement de ce mois de novembre. (tirage à la courte paille je pense pour écrire l'article que je vous retranscrit) :
"Marillion hard -babas
Marillion doit son nom à un roman de Tolkien où il n'est question que de prodiges. Si vous croyez aux miracles, celà suffit peut etre à expliquer le phénomène M. Car sinon........ Fish et ses bucherons n'ont pas spécialement un look branché, loin de là (maquillages à la Peter Gabriel, cape satinée sur training sportif, bandeau dans les cheveux..... notre chanteur ne paye pas de mine !), ni une formule musicale très à la mode (on pense plutot, en écoutant leurs longues compositions ampoumées, aux délires musclés de Van Der Graaf Génerator ou à d'antiques cires de Genesis). Profondément ancré dans le rock progressiste des années 70, ce groupe anglais unique en son genre, semble meme complétement à coté de la plaque, à contre-temps des modes et tendances actuelles du rock. Et pourtant ....... il suffit qu'ils viennent faire un tour au Zenith (sans grand renfort de pub) pour que la grande salle affiche "sold out" ..... comme par un coup de baguette magique. M, sous l'immense arc en ciel qui les illumine sur scène semble en fait avoir réussi une étonnante qageure : réunir dans un lourd cocktail de rock pompier, les nostalgiques de l'ère baba et les fans d'un hard baroque, et célebrer un étrange mystère religieux , un crueiux
"Marillion hard -babas
Marillion doit son nom à un roman de Tolkien où il n'est question que de prodiges. Si vous croyez aux miracles, celà suffit peut etre à expliquer le phénomène M. Car sinon........ Fish et ses bucherons n'ont pas spécialement un look branché, loin de là (maquillages à la Peter Gabriel, cape satinée sur training sportif, bandeau dans les cheveux..... notre chanteur ne paye pas de mine !), ni une formule musicale très à la mode (on pense plutot, en écoutant leurs longues compositions ampoumées, aux délires musclés de Van Der Graaf Génerator ou à d'antiques cires de Genesis). Profondément ancré dans le rock progressiste des années 70, ce groupe anglais unique en son genre, semble meme complétement à coté de la plaque, à contre-temps des modes et tendances actuelles du rock. Et pourtant ....... il suffit qu'ils viennent faire un tour au Zenith (sans grand renfort de pub) pour que la grande salle affiche "sold out" ..... comme par un coup de baguette magique. M, sous l'immense arc en ciel qui les illumine sur scène semble en fait avoir réussi une étonnante qageure : réunir dans un lourd cocktail de rock pompier, les nostalgiques de l'ère baba et les fans d'un hard baroque, et célebrer un étrange mystère religieux , un crueiux