Re: nouveau
Posté : 30 septembre 2011, 11:46
Tout a commencé pour moi dans les années 70.
Lorsque je faisais mes études d'art graphique dans deux écoles de dessin successives (Rue Madame, puis Olivier de Serre). Dans cette voie, le travail scolaire des week end et des soirées étaient principalement du dessin et ses dérivés. Ce qui permettait alors de pouvoir écouter beaucoup de musique non stop tout en travaillant.
Mon intérêt fut rapidement ciblé vers le Progressif, et j'ai bien usé mes galettes vinyles de Yes. Un peu plus tard dans les années 83 j'ai découvert Marillion par hasard, j'ai rapidement accroché, et depuis ce sont eux qui me fond "décoller" de par leur merveilleuse musique.
Maintenant je n'ai plus beaucoup le temps le week end pour me poser alors les trajets boulot en voiture sont dédiés à Marillion. Une heure matin et soir ça fait tout de même 10 heures de Marillion par semaine, et de quoi bien commencer la journée. Des morceaux comme this stange engine, comme ocean cloud, ou comme le scotchant neverland, sur Size Matters, peuvent parfois me dresser les poils des avants bras de par leur beauté. Même si on les connait par coeur, la magie opère.
Lorsque je faisais mes études d'art graphique dans deux écoles de dessin successives (Rue Madame, puis Olivier de Serre). Dans cette voie, le travail scolaire des week end et des soirées étaient principalement du dessin et ses dérivés. Ce qui permettait alors de pouvoir écouter beaucoup de musique non stop tout en travaillant.
Mon intérêt fut rapidement ciblé vers le Progressif, et j'ai bien usé mes galettes vinyles de Yes. Un peu plus tard dans les années 83 j'ai découvert Marillion par hasard, j'ai rapidement accroché, et depuis ce sont eux qui me fond "décoller" de par leur merveilleuse musique.
Maintenant je n'ai plus beaucoup le temps le week end pour me poser alors les trajets boulot en voiture sont dédiés à Marillion. Une heure matin et soir ça fait tout de même 10 heures de Marillion par semaine, et de quoi bien commencer la journée. Des morceaux comme this stange engine, comme ocean cloud, ou comme le scotchant neverland, sur Size Matters, peuvent parfois me dresser les poils des avants bras de par leur beauté. Même si on les connait par coeur, la magie opère.